Détails sur le On s'est juste embrassés - Si vous avez décidé de trouver ou lire ce livre, ci-dessous sont des informations sur le détail de On s'est juste embrassés pour votre référence : On s'est juste embrassés a été écrit par Isabelle Pandazopoulos qui connu comme un auteur et ont écrit beaucoup de livres intéressants avec une grande narration. On s'est juste embrassés a été l'un des livres de populer Cette année. Il contient 156 pages et disponible sur format E-Book, Hardcover. Ce livre a été très surpris en raison de sa note 3.3 et a obtenu environ 681 avis des utilisateurs. Donc, après avoir terminé la lecture de ce livre, je recommande aux lecteurs de ne pas sous-estimer ce grand livre. Vous devez prendre On s'est juste embrassés que votre liste de lecture ou vous serez regretter parce que vous ne l'avez pas lu encore dans votre vie. Voici l'identifiant du livre que vous pouvez utiliser pour rechercher ce livre sur le marché ou un autre vendeur de livres, isbn: 2070622835, ean: 9782070622832 ou asin: 2070622835.
On s'est juste embrassés par Isabelle Pandazopoulos ont été vendues pour EUR 8,90 chaque exemplaire. Le livre publié par Gallimard Jeunesse. Il contient 156 pages et classé dans le genre Boutiques. Ce livre a une bonne réponse du lecteur, il a la cote 3.3 des lecteurs 681. Inscrivez-vous maintenant pour accéder à des milliers de livres disponibles pour téléchargement gratuit. L'inscription était gratuite.
Le Titre Du Livre : On s'est juste embrassés
Nom de fichier : on-sest-juste-embrassés.pdf
La taille du fichier : 13.73 KB
Description du livre On s'est juste embrassés : Slut-shaming, harcèlement et quête identitaire - 0 internautes sur 0 ont trouvé ce commentaire utile.Slut-shaming, harcèlement et quête identitaire
Par NovaBaby
On va donc rencontrer Aà¯cha, 15 ans, dont le père s'est carapaté 7 ans plus tà´t et que sa mère élève seule. Pas de famille autre, rapport que la mère n'entretient plus de rapport avec la sienne. Elles vivent toutes les deux dans une cité, faute de mieux, et même si sa mère préfèrerait qu'elle n'en fréquente pas les habitants, Aà¯cha a une BFF de l'infini : Sabrina. Et Sabrina a un grand frère dont Aà¯cha est secrètement amoureuse.Du coup, le soir oùil l'embrasse, c'est joie, bonheur et allégresse dans son cœur.Sauf que. Je sais pas si vous voyez, mais la couverture a franchement rien de jouasse. Il se trouve que Walid, le type en question, est plutà´t du genre macho-salaud-blaireau. On va donc rapidement assister à la propagation d'une rumeur qui n'a plus grand-chose à voir avec le fait de départ puisqu'elle va se faire traiter de tous les noms pour avoir couché avec lui. Rappel de base : même si elle l'avait fait, c'est son droit le plus strict, et ce serait plutà´t la réaction du jeune homme qui serait à blâmer.On est donc parti pour du slut-shaming en bonne et due forme.Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'autrice en fait un truc facile à lire. Une plume de fifou, je ne vous dis que ça. Le sujet est ciselé, extrêmement bien abordé. Parce que c'est super facile de dire "le harcèlement, c'est mal" ou '"tu fais ce que tu veux de ton corps". C'est vrai, mais c'est facile. Qu'est-ce qu'on peut faire quand on se retrouve dans la même situation qu'Aà¯cha ? Très honnêtement, je me pose encore la question, et je ne suis pas pressée que ma fille arrive à cet âge délicat (et j'espère très fort que les mentalités auront un peu évolué d'ici 32 ans qu'elle passe à l'acte) (non, je déconne, j'espère qu'elle aura une vie sexuelle épanouie). Bref, ça donne pas mal matière à réflexion.En ce qui concerne Aà¯cha, c'est pas compliqué : puisqu'elle traverse une passe qu'on pourrait qualifier de pleine de caca, il va lui arriver une catastrophe sur le coin du nez.Et une pire, qui fait que finalement, c'est bien moins important que toute la cité crache sur son passage.Tout ça va l'amener à aller chercher du soutien, ou au moins des réponses. Et ceux qui sont censés nous les apporter, c'est notre famille.Tous ces évènements conduisent donc l'ado dans une quête identitaire, pour comprendre pourquoi sa mère s'est coupée de sa famille, et surtout comprendre qui elle est.Si j'ai préféré la première partie, la deuxième est loin d'être dénuée d'intérêt, et surtout, autant me répéter, la plume d'Isabelle Pandazopoulos est exquise ! Ca sonne juste, c'est beau, et on n'a pas l'impression d'être dans un mauvais téléfilm de M6 du dimanche après-midi qui montre comment c'est trop dur la vie.Si ce genre de récit est votre came, je vous le recommande clairement ! 157pages. in8. Broché.
Par NovaBaby
On va donc rencontrer Aà¯cha, 15 ans, dont le père s'est carapaté 7 ans plus tà´t et que sa mère élève seule. Pas de famille autre, rapport que la mère n'entretient plus de rapport avec la sienne. Elles vivent toutes les deux dans une cité, faute de mieux, et même si sa mère préfèrerait qu'elle n'en fréquente pas les habitants, Aà¯cha a une BFF de l'infini : Sabrina. Et Sabrina a un grand frère dont Aà¯cha est secrètement amoureuse.Du coup, le soir oùil l'embrasse, c'est joie, bonheur et allégresse dans son cœur.Sauf que. Je sais pas si vous voyez, mais la couverture a franchement rien de jouasse. Il se trouve que Walid, le type en question, est plutà´t du genre macho-salaud-blaireau. On va donc rapidement assister à la propagation d'une rumeur qui n'a plus grand-chose à voir avec le fait de départ puisqu'elle va se faire traiter de tous les noms pour avoir couché avec lui. Rappel de base : même si elle l'avait fait, c'est son droit le plus strict, et ce serait plutà´t la réaction du jeune homme qui serait à blâmer.On est donc parti pour du slut-shaming en bonne et due forme.Le moins que l'on puisse dire, c'est que l'autrice en fait un truc facile à lire. Une plume de fifou, je ne vous dis que ça. Le sujet est ciselé, extrêmement bien abordé. Parce que c'est super facile de dire "le harcèlement, c'est mal" ou '"tu fais ce que tu veux de ton corps". C'est vrai, mais c'est facile. Qu'est-ce qu'on peut faire quand on se retrouve dans la même situation qu'Aà¯cha ? Très honnêtement, je me pose encore la question, et je ne suis pas pressée que ma fille arrive à cet âge délicat (et j'espère très fort que les mentalités auront un peu évolué d'ici 32 ans qu'elle passe à l'acte) (non, je déconne, j'espère qu'elle aura une vie sexuelle épanouie). Bref, ça donne pas mal matière à réflexion.En ce qui concerne Aà¯cha, c'est pas compliqué : puisqu'elle traverse une passe qu'on pourrait qualifier de pleine de caca, il va lui arriver une catastrophe sur le coin du nez.Et une pire, qui fait que finalement, c'est bien moins important que toute la cité crache sur son passage.Tout ça va l'amener à aller chercher du soutien, ou au moins des réponses. Et ceux qui sont censés nous les apporter, c'est notre famille.Tous ces évènements conduisent donc l'ado dans une quête identitaire, pour comprendre pourquoi sa mère s'est coupée de sa famille, et surtout comprendre qui elle est.Si j'ai préféré la première partie, la deuxième est loin d'être dénuée d'intérêt, et surtout, autant me répéter, la plume d'Isabelle Pandazopoulos est exquise ! Ca sonne juste, c'est beau, et on n'a pas l'impression d'être dans un mauvais téléfilm de M6 du dimanche après-midi qui montre comment c'est trop dur la vie.Si ce genre de récit est votre came, je vous le recommande clairement ! 157pages. in8. Broché.
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